Chères Éligeoises, chers Éligeois,

Avant de vous laisser découvrir votre 31ème gazette, je tenais tout d’abord à vous remercier pour votre présence en nombre lors de notre traditionnelle cérémonie des vœux début janvier.

Je tenais également à adresser ici, à tous ceux qui n’ont pas pu être présent le 9 janvier, et au nom de toute l’équipe municipale, mes meilleurs vœux de santé, de bonheur et de réussite.

Que 2025 soit une très belle année pour vous et ceux qui vous sont chers !

Que 2025 soit également une année de projets enthousiasmants, porteurs et bénéfiques pour notre belle commune !

Et pour cela, nous devons et allons continuer à œuvrer pour améliorer le bien-être de chacun.

2025 sera donc une année de nouveaux projets, tous orientés, encore et toujours, vers la santé, la sécurité et le service.

Notre priorité sera alors la maîtrise de notre budget de fonctionnement afin de pouvoir investir.

Et il faudra maîtriser ce budget tout en subissant les décisions prises par l’état.

Je rappelle que nous ne sommes pas, nous, collectivités locales, le problème des comptes publics ; les finances locales sont obligatoirement à l’équilibre car les collectivités doivent respecter la règle d’or : nous ne pouvons pas voter de budget en déficit.

2025 sera un défi pour vos élus, il nous faudra continuer à investir et pérenniser nos choix tout en composant avec de nouvelles contraintes, de taille.

Mais restons optimistes et gardons en tête les bonnes nouvelles,

2025 rimera, entre autres, avec l’ouverture du cabinet dentaire communal, avec l’amélioration des structures routières, avec la création de pistes cyclables…

Gardons notre cap et suivons notre feuille de route, tout en continuant de mettre l’accent sur les valeurs qui nous sont chères telles la famille, le lien intergénérationnel, le sport… sans oublier celles qui les véhiculent : les associations, leurs membres et leurs bénévoles !

Alors en route pour 2025, et au plaisir d’échanger avec vous lors de nos futures rencontres !

En attendant, bonne lecture !

Bien éligeoisement,
Jérôme Malus